14 Fév Pourquoi la graisse que l’on peut voir n’est pas la plus préoccupante pour la santé
SANTE – Votre graisse viscérale est la vraie graisse pathologique: venez vous faire dépister chez HTC Santé
« ATTENTION, soyez vigilant aux poids des années car la graisse viscérale s’accumule », explique Olivier DELABAS dirigeant du Groupe HTC santé, la graisse accumulée juste sous l’épiderme – celle que nous voyons – est certes nocive mais, c’est plutôt de la graisse invisible dont il faut se méfier.Celle qui entoure vos viscères !
« C’est elle qui est la plus nuisible, comme nous commençons à le constater », poursuit-il. « Elle a un impact bien plus important sur le métabolisme et produit toutes sortes d’effets négatifs, dont l’augmentation du risque d’accident cardio-vasculaire. »
La différence entre graisses visibles et invisibles
La graisse sous-cutanée représente la partie visible de l’iceberg, celle que nous connaissons bien, que l’on peut pincer entre ses doigts sur le ventre ou les cuisses. Plutôt bénin, ce type de graisse s’accumule sous la peau. Cependant, les graisses viscérales sont cachées mais dangereuses :
– Que vous soyez en surpoids ou non, elles touchent tous les individus.
– Elles ne se trouvent pas juste sous votre peau, mais bien à l’intérieur de votre corps.
– Elles entourent vos organes dans la cavité abdominale.
– Celles-ci ne se voient pas et sont très dangereuses.
– Comme elles se logent autour des viscères, les graisses enveloppent les veines reliant les intestins au foie.
– Lorsque la graisse viscérale est en excès, elle passe directement dans les veines.
– Créant un risque plus important de maladies cardiovasculaires.
– Elles sécrètent des substances qui encore une fois augmentent les risques de cancers.
Au delà d’un indice de 12 il est nécessaire d’investiguer, votre praticien HTC santé vous le communiquera.
Fort heureusement perdre ne serait-ce que quatre ou cinq kilos peut faire toute la différence en termes de santé, tout en diminuant le risque de développer un diabète de type 2 ou des maladies cardio-vasculaires.
Une petite étude réalisée en 2010 a comparé deux groupes dont les sujets, jeunes, avaient un poids normal. Tandis que le premier groupe conservait sensiblement le même poids pendant huit semaines, les chercheurs ont augmenté les quantités de nourriture données au second groupe, ce qui a conduit à une prise de poids moyenne de cinq kilos. Les résultats, publiés dans le magazine Journal of the American College of Cardiology, étaient remarquables.
Dans le groupe en surpoids, certains participants ont pris des graisses viscérales et d’autres, sous-cutanées. On a constaté chez les premiers (soit environ un tiers des sujets) une détérioration prononcée de la pression sanguine et de la fonction endothéliale, qui permet de mesurer l’état de santé des vaisseaux sanguins. Au bout des seize semaines de l’expérience, quand ceux qui avaient pris de la graisse viscérale ont perdu le poids excédentaire, la fonction endothéliale est revenue à la normale.
Ceux qui avaient principalement stocké de la graisse sous-cutanée n’ont enregistré aucun changement significatif de leur fonction endothéliale. « Aucune différence physique réelle n’est apparue », explique le cardiologue, l’un des auteurs de l’étude. « La question ne se réduit pas à la prise de poids, mais à la façon dont se répartissent les graisses. »
Comment savoir si je stocke de la graisse viscérale?
Heureusement, votre pôle HTC Santé dispose d’une solution de diagnostic fiable à 96% du DEXA (référence médicale), mais également d’un protocole de traitement par technique ultrasonique spécifique à la problématique des graisses viscérales.
En outre, il est facile de s’attaquer au problème, par une prise en soin spécifique dans les pôles HTC Santé. Alors n’attendez pas !